Mon temps est passé.
Il y a une maigre fenêtre de confusions et d'élévations, c'est l'enfance.
Ensuite, condamnation à la répétition de boucles, il y a de maigres chances de changement, maintenant elles sont passées.
La croissance se cache sous le velours, puis s'ouvre à la médiocrité, aux défauts de toute sorte, à la paresse de la continuité.
Il y a des torrents fébriles, puis une lente procession vers le rivage.
La pâte agitée doit se reposer. Pourtant elle se hâte derrière un fardeau de pesanteur.
Il n'est aucun empire humain, Au dessus de moi je ne vois que des oiseaux de mer.
22 juillet 2008
Rapidement, lentement.
à 18:41