Comment se libérer du système de prédation ?
On remarque que depuis la plus jeune enfance les personnes de notre entourage accaparent notre attention
L'attention est ce qui détermine notre capacité à effectuer des choix et c'est aussi une faculté directement liée au "flux", c'est-à-dire la nourriture de notre âme.
Avec cet entourage emprisonné dans la matière, nous avons (en grande partie inconsciemment) des liens formés avec de multiples personnes qui ont espéré s'introduire en nous (également sous le couvert de "l'amour") pour recevoir une partie de ce flux.
Ainsi connecté, elles reçoivent en permanence ce flux et nous avons oublié leur emprise.
C'est inconscient. Notre attention ainsi contaminée par la "vie", du "karma", de l'essence d'autrui, se regroupe dans une âme groupe qui empêche toute libération
Notre autorité propre se voit diluée dans l'ensemble des cerveaux faisant partie d'un immense système de broyage de l'individualité.
Tout peut se comprendre en terme d'information et d'attention.
Toute relation suppose un échange (plus ou moins unilatéral) d'informations (le karma est une information, le corps et la forme de l'être en sont aussi une) par le biais de l'attention.
Nous devons former des réseaux, mais une grande attention devrait être portée à la teneur des liens, car tout lien vampirique (ce qui est la norme dans ce monde) réduit proportionnellement d'autant notre capacité à capter et retransmettre le flux (qui procure le libre arbitre)
Libre arbitre, inspiration, créativité, etc
C'est pourquoi un isolement prolongé de la société (physique mais aussi et surtout énergétique) nous rend nos facultés créatrices
Nettoyer toutes ces relations vampiriques (qui laissent présentent dans l'esprit et dans l'énergie le "goût" de la personne) est un premier pas, le second est l'apprentissage de la maîtrise de l'attention pour être conscient de toutes les "sorties" et "entrées" d'énergies par les câbles qui relient les personnes.
Il n'est aucun empire humain, Au dessus de moi je ne vois que des oiseaux de mer.
23 janvier 2013
à 23:03