Il n'est aucun empire humain, Au dessus de moi je ne vois que des oiseaux de mer.

21 février 2014

Nous sommes attaqués par nos points faibles, à savoir, toute pensée allant contre soi ou tendant à limiter l'intelligence, la connaissance et l'étendue du soi. Derrière la plupart des émotions se trouve une crainte, une peur fondamentale. On peut localiser ou associer cette peur à des traumas, ruptures, divisions internes dans cette vie ou d'autres. Un trauma/choc non résolu perd sa caractéristique principale de "messager", nous informant sur nous-mêmes, pour prendre le rôle de prédateur rôdant dans la pénombre du sous-bois des pensées. L'idée est d'éclaircir les pensées pour envoyer de la lumière sur cette créature, et lui faire dire ce qu'elle a à dire sur notre vie. Par là, l'esprit se réintègre en retrouvant une part de lui-même qui s'opposait au bien-être général. L'insécurité, la peur et l'angoisse n'ont pas lieu d'être, car l'âme est immortelle et l'esprit est éternel. En localisant l'information plutôt qu'en soulevant une émotion, l'âme reprend un rôle constructif reliant la part d'esprit divine à la part d'esprit déchue, qui sont deux parts égales d'esprit. Celui capable de maintenir et d'appliquer cette attitude peut se dire initié. Le trauma est le moyen qu'a trouvé l'univers pour que nous vivions des expériences/rêves. Pour ne plus les répéter, il est o-bli-ga-toire de dénouer le trauma ayant conduit au cycle d'expérience. Si l'humanité ne comprend toujours pas ce que signifient les guerres, elle ne retrouvera pas son trauma originel. Si l'on ne comprend pas le sens des épreuves que l'on vit, on ne retrouve pas non plus le trauma qui les a inconsciemment provoquées. En fin de cycle ne doit rester qu'un seul maître pour un seul corps, relié à un seul principe : le Tout.