La partie obsédée par soi-même, la partie qui n'est pas ouverte aux autres réels, la partie qui vit entre les miroirs, la partie incapable d'écouter et de voir, cette partie sudorifique et détrimentale, comme une excroissance anormale, toute cette partie ajoutée, dérivée du non-amour de soi-même, du péché intérieur dû au désamour de la vérité crue, l'enfant monstrueux de la contamination du monde extérieur féroce, toute cette partie à retrancher, cette partie qui nous occupe dans ce que l'on croit être, c'est la route oublieuse et terrible de la fausseté. Chair infâme de la perdition qui s'appelle la personnalité.
Il n'est aucun empire humain, Au dessus de moi je ne vois que des oiseaux de mer.