Toute la littérature est constituée de rejets, crachats, déjections, merdes de différents types. Rien n'a de direction, tout est du simple résultat de processus internes. Le rejet, c'est ce que l'on lit.
Les livres de G. ont un BUT, c'est le résultat d'un effort conscient, c'est de l'art conscient.
Ce qui est réaction à des influences extérieures ne peut qu'être merdité.
Tout en soi doit être fondu, mélangé, afin de retrouver un état d'indifférenciation, d'indistinction... être avant la naissance... ÊTRE demande aucune crevasse, aucun sommet... L'eau, la vapeur, l'air, puis l'éther, la quintessence, le prâna...
Il n'est aucun empire humain, Au dessus de moi je ne vois que des oiseaux de mer.
21 septembre 2008
à 15:45