Il n'est aucun empire humain, Au dessus de moi je ne vois que des oiseaux de mer.

20 juin 2011

Lorsque j'occupe mon esprit à une activité répétitive et lassante,

Ainsi que je l'enivre comme une petite bête féroce,
Mon âme pure et subtile s'éveille, délivrée de la pesanteur du moi,
Douce et oubliée, elle se repose et revit,
Je retrouve ce que je suis.
Le coeur de mon âme bat sur un rythme qui ne supporte les pressions du monde,
Le monde bruyant l'empêche et la contraint,
Supprimée elle pleure.