Il n'est aucun empire humain, Au dessus de moi je ne vois que des oiseaux de mer.

18 décembre 2010

Par delà la brume, un être se consume.

L'eau effervescente du corps, s'élèvent et s'évapore, brisant les chaines du globe utopique.
Un songe morose survole la dune ambrée, décimant le confins étoilé, gorgé d'amertumes.
Entre deux rives, frôlant le firmament, ruissellent des larmes d'insouciances.
Par-delà la brume, un être se consume...

Ysé