L'amour -- Il y a une attirance pour les personnes qui nous soulagent du poids de nos défauts en nous rappelant la partie intacte.
Au delà de ce soulagement possible, le grand amour pourrait être avec n'importe qui ayant surmonté ses défauts.
Il n'est aucun empire humain, Au dessus de moi je ne vois que des oiseaux de mer.
28 décembre 2013
à 04:06
12 décembre 2013
29 novembre 2013
Vous croyez que l'état de la société est normal ? Que les inégalités de richesses sont exagérées mais néanmoins dans la "nature humaine" ? De quelle "nature humaine" parlez-vous ? Humaine ou psychopathique ? Vous pensez qu'il est normal de devoir travailler sans arrêt pour arriver tout juste à vivre, qu'il est normal de se soigner avec ce que Big Pharma impose, qu'il est normal d'envoyer ses enfants à l'école pour qu'ils soient "éduqués", qu'il est normal d'avoir une économie manipulée jusqu'à l'os, qu'il est normal de bouffer des graines parce que c'est "bon pour la santé", qu'il est normal de se servir encore de voitures pour circuler, qu'il est normal d'avoir une science ou une philosophie aussi peu avancée et matérialiste ? Alors réfléchissez à deux fois, trois fois, quatre fois, autant qu'il faudra... parce que s'il y a ne serait-ce qu'une trace de normalité là-dedans, je demande à voir.
à 01:46
On entretient tous une certaine marge d'illusions, comme de la mousse au dessus d'un plat. On cherche tous à voir le monde d'une manière plus positive, pour pouvoir vivre tranquillement, ou au minimum, continuer à vivre comme le souhaite le système. On cède tous dans une certaine mesure aux pressions du système, et donc, on a tous besoin de ces illusions pour éviter d'être confronté à soi-même et à la réalité. Notre pensée elle-même est continuellement mélangée à un substrat d'illusions, et même quand certaines sont abandonnées, on en choisit d'autres pour continuer à vivre. La grande partie des choses qui enthousiasment ou qui rendent heureux les gens sont à la base des illusions, et c'est une programmation du système qui provoque l'émotion ou l'humeur soi-disant positive correspondante. Une illusion est par nature quelque chose de furtif, on ne la voit pas, elle ne se voit que de l'extérieur, dans le regard de quelqu'un d'autre. Chacun a ses propres illusions, ses propres passions, ses propres pensées émotionnelles qui l'entraînent dans des expériences auxquelles seul son inconscient s'attendait. Maintenant, quelles sont mes illusions ? Où est-ce que j'imagine des choses rassurantes, alors qu'il n'y en a pas ? Où vois-je du positif, alors que c'est du négatif, et où vois-je du négatif, alors que c'est du positif ?
à 01:45
24 novembre 2013
J'imagine une forme, sans forme J'imagine une couleur, sans couleur J'imagine un être, sans être J'imagine un monde, sans monde J'imagine un dieu, sans dieu J'imagine du côté de ce qui est, que ce qui est n'est pas, puis du côté de ce qui n'est pas, j'imagine ce qui est. Observant et observé, et je me dis, Cela est bien. Quoi que vous fassiez, quoi que vous disiez, ce n'est pas dit, ce n'est pas fait. Une affirmation s'affirme, et s'affirmant elle n'est pas affirmée, Une négation se nie, et se niant elle n'est pas niée. Le son d'une vie, les mille sons de mille vies, réclament de sonner sans sonner car là où il n'y a pas de son, de là vient un son, et quand il n'est plus, c'est qu'il n'a pas été, il était sans être, De deux il y a trois, de trois il y a un, sans que jamais d'un il n'y eut, car il n'était plus un.
à 02:02
23 novembre 2013
Merci aux gens qui ne font rien, par leur attitude, de détruire la création. Vous donnez l'occasion à tous de vivre un magnifique film d'horreur, qui je suis sûr, ravira les grands zombies comme les petits zombies. Mais cette fois, il faudra les envoyer se réincarner ailleurs. Dans un désert peut-être.
à 02:06
22 novembre 2013
Préparez-vous au futur que les autres ont choisi pour vous...
Au futur que que nous avons choisi ensemble... Quand ça, déjà ?
Peut-être qu'il est temps de prendre de ses propres choix, en se basant sur une information objective ?
C'est-à-dire, faire un EFFORT pour s'informer ? S'intéresser à ce qu'il se passe autour de soi, à ce que les autres vivent ! Les autres, ça n'intéresse personne ?
Juste en regardant autour de soi, on peut en savoir long sur l'état des lieux.
Il y a un problème dans ce monde, il faut l'affronter, pas vrai ?
à 02:06
21 novembre 2013
Sensation de venir d'ailleurs ? D'être différent ? Impression que vous êtes réveillés et que tout le monde dort ? Envie de retrouver le paradis perdu ? Incompréhension profonde ?
Peut-être, mais rien ne changera si vous ne montrez QUI vous êtes... et ça prendra le temps qu'il faudra. Peut-être 300,000 ans de plus.
à 02:08
Beaucoup de gens ne font pas attention à ce qu'il se passe autour d'eux. Ils pensent que tout est normal. Ils ne voient pas que le décor a changé, que ce n'est plus un paysage, mais une boite donnant l'illusion d'un paysage. Comme si le décor allait perdurer. Comme s'il n'y avait pas de point de rupture majeur, pas de malaise général, pas de gouvernants qui sont rien de moins que des voleurs et des assassins, pas de guerres immondes, pas de phénomènes naturels anormaux, pas de comètes et météores en grand nombre,... Après, on dira que c'est la fatalité, qu'on n'y pouvait rien. Les choix parlent d'eux-mêmes. On a scellé notre sort, n'est-ce pas ?
à 02:07
19 novembre 2013
Combien de personnes devront être sacrifiées pour de religions venant du même tronc abrahamique ?
Combien de personnes devront disparaître de ce monde pour des gouvernements sans sagesse ?
Combien de temps faudra-t-il pour que les hommes se rendent compte que la médecine, l'éducation, et les habitudes de ce monde, les a détruit et encore détruit ad infinitum ?
Quand vont-ils se rendre compte que QUELQUE CHOSE NE TOURNE PAS ROND ?
à 02:08
14 novembre 2013
La Terre... Des milliards d'humains, et autant de rituels. Pourquoi ? Seulement la peur. Plus nous avons peur, plus nous sommes religieux. Plus nous sommes effrayés, plus nous avons besoin d'être soulagés. Mais existe-t-il un soulagement quand on regarde la mort dans les yeux ?
à 04:27
La destruction des tours jumelles, les désastres des tsunamis, des séismes, des typhons, etc, font écho à la destruction de notre âme. Quand on vient au monde, l'âme est attaquée, puis elle est méthodiquement détruite. Par démolition contrôlée. Sans âme, ou avec quelques matériaux pour reconstruire une âme, la force vient souvent à manquer. Peu de gens peuvent prêter main forte, alors qu'eux-mêmes sont occupés par leurs travaux. On peut s'inspirer d'autres âmes, reproduire leur architecture. Mais les âmes actuelles sont un peu comme les bâtiments qu'on construit, elles sont de plus en plus fermées, de plus en plus froides, de plus en plus compartimentalisées. Les destructions dans le monde ne sont pas un hasard. Aujourd'hui le loup souffle sur les maisons de paille, les maisons de bois, et même sur les maisons de pierre. Tout est à renouveler.
à 04:27
13 novembre 2013
Et un jour la conscience est restée. Elle ne m'a jamais quitté. Et je pensais être fou.
Le lendemain, je vis clairement. Le monde était fou et j'étais un étranger.
Mais comme la conscience ne me quittait pas, moi non plus n'ai pas quitté le monde.
Je vis les gens naître, je vis les gens mourir, mais la seule quête sans fin de l'âme organisait ces naissances, ces morts.
Et toutes les souffrances, et tous les plaisirs, chutaient dans les abysses de la mémoire,
de sorte que seul subsistait l'amour sans fin de l'âme, envers tout ce qu'elle avait vue dans le monde.
Et quand l'âme fond, à l'intérieur même du monde, jusqu'à ce que le monde soit l'âme elle-même, alors une grande rencontre attend tout étranger, c'est le pays des êtres éternels, qui SONT de toute éternité.
à 04:32
Vaut mieux comprendre une expérience qu'attendre qu'elle se répète. Vaut mieux comprendre les milliers d'expériences d'une seule journée, que de revivre la même tous les jours. Vaut mieux penser aux choses, à toutes les choses, que d'être la marionnette du destin. Vaut mieux s'observer, plutôt que s'échapper. Vaut mieux être, plutôt que ne pas être. Mais il faut bien qu'une partie du monde chute dans le non-être pour que l'équilibre se fasse. Le processus qui conduit à se perdre a quelque chose de plus fascinant que le processus de la redécouverte. Comment quelque chose peut mourir ? Quelque chose de dormant vit dans ce qui est mort, et cette chose peut se réveiller à tout instant.
à 04:30
12 novembre 2013
En toute personne il y a une part d'inaccessible. Une partie inconnaissable. Même si elle est inconnaissable, elle cherche pourtant à être connue et donc cherche à ce que le monde l'observe.
Cette partie de soi construit et informe l'être, elle est dans le "futur".
Lorsque l'être n'est plus enrichi par cette observation permanente du monde, la partie inconnaissable se rétracte derrière le quotidien, jusqu'à passer inaperçue.
L'intérêt n'est pas tant de connaître une personne, mais de savoir ce qu'elle va devenir.
L'observation influence ce qui est observé. Sans doute, on peut manipuler rien que par l'intention. Peut-être qu'un prédateur peut faire chuter le gibier juste en le regardant. De même le monde peut nous faire chuter juste par son seul regard.
Ce monde nous observe en permanence, et les "contrôleurs" de ce monde observent leurs proies - l'humanité. C'est le regard de "l'Oeil invisible"... Il nous observe de telle sorte à ce que nous soyons pour lui de plus en plus "connus", avec une partie d'inconnaissable de moins en moins présente.
Ils peuvent tout faire pour étudier notre comportement, notre génétique, nos réflexes, nos émotions, nos habitudes de pensée, et tout prévoir sur le grand échiquier. Mais il reste une partie qui leur est inaccessible. Une part d'ombre.
Dans cette situation, c'est en choisissant par QUI on veut être... connu, découvert, dévoilé... que les choses changent. Les personnes qui observent notre passé ont tendance à nous rendre contrôlables, et les personnes qui observent notre futur ont tendance à nous rendre libres.
Il est très possible qu'une personne qui regardait notre futur, décide à un moment d'arrêter et de regarder le passé. Il est possible de mourir parce que le regard d'autrui est mort et que nous nous en sommes pas rendus compte. Il est très possible que des personnes perdent ce qui les rendaient libres. Il est aussi possible que des personnes le retrouvent.
Le souffle du futur est mystérieux, parfois il souffle, parfois il se retire. Parfois il nous enrichit, parfois il est repoussé. Comme ce monde a décidé de tuer le futur, il voudrait nous piéger dans le passé comme une proie, et il est bon de ne plus subir cette influence.
La partie inaccessible en soi, qui désire que le monde l'observe, qui désire être aimée, devrait faire très attention à QUI l'observe. Elle devrait ne chercher QUE la vérité. Maintenant, QUAND est-ce qu'on commence ?
à 04:41
10 novembre 2013
Les choses vont par cycles. Il faut une "bonne" illusion pour lancer une expérience, pour percevoir un aspect de la vie. Puis l'illusion en entraîne une autre, car les conséquences d'une expérience sont une autre expérience. Ici tout est inversé, la vie émerge sur le mensonge, alors que ce devrait être la vérité qui soit la cause de l'expérience. Avec la vérité, les cycles viennent à une fin. Et même quand les illusions sont raffinées jusqu'à prendre l'apparence de l'illusion, il n'y a rien d'autre à faire que d'attendre que la pluie passe. De toute façon, même si l'on s'inquiète pour les illusions de chacun, on ne peut pas hâter leur expérience. Il n'y a qu'à attendre et se rapprocher d'un autre temps, en dehors des illusions collectives... et pendant ce temps, lancer des expériences basées sur des vérités et non des mensonges.
à 04:46
17 septembre 2013
Plus je réfléchis, plus je me dis qu'un des problèmes de la civilisation actuelle est la disparition de la notion de mal.
Tout comme l'idée de la mort a disparu des consciences, de même la notion de mal a été déviée à un tel point qu'elle en est devenue méconnaissable.
Les religions orthodoxes ont toujours voulu imposer un dieu unique, qui refoule le mal dans l'inconscience.
Le progrès scientifique refoule aussi le mal dans un espoir sans cesse renouvelé de contrôler toutes les forces matérielles.
L'existence même d'une autorité, quelle qu'elle soit, suppose qu'elle nous protège du mal. Mais cette protection est illusoire.
En fait, il n'y a aucun dieu unique, aucune foi, aucune autorité, aucune fuite de soi qui puisse protéger du mal. Le mal étant soi-même que l'on fuit.
Se connaître soi-même, connaître le mal, est la seule manière de donner au bien la place qui lui est dévolue dans la création.
Plus je réfléchis, plus je me dis que ce n'est pas pour rien que la notion de mal a disparu du champ des idées contemporaines.
Ce champ est devenu totalement stérile et notre nature est à l'image de la Nature dans laquelle nous sommes : empoisonnée, aride, desséchée.
Heureusement, cela ne va pas durer. Le mal est de retour dans l'esprit collectif.
à 05:29
13 septembre 2013
L'existence de quelque chose de réel hors de soi est la confirmation finale de l'existence de dieu
à 04:59
5 août 2013
Les traces du temps effacent tout ce qui existe,
Pourquoi cette époque est-elle si importante ?
L'atlantide, c'était hier, les êtres et les empires se succèdent,
Pourquoi ne peut-on pas faire et être éternels ?
Il y a un sérieux problème...
Pourquoi suis-je humain ?
à 05:43
14 juin 2013
Le principe de l'alchimie, c'est que dès lors que l'on vit une crise intérieure, on peut utiliser cette "instabilité quantique" pour amener un nouvel ordre dans le chaos.
Un maître sait logiquement provoquer une crise intérieure puisqu'il donne un miroir devant lequel une personne peut se contempler avec effroi et grâce.
Mais quand une personne provoque une crise sans amener l'harmonie qui succède à la tempête, alors c'est une anti-spiritualité qui conduit encore plus bas.
C'est ce qu'il se passe dans la société, nous avons une crise et certains voudraient l'utiliser pour amener de la lumière, et d'autres de l'ombre.
Et les forces s'affrontent peu à peu d'une manière bien plus directe.
à 05:42
29 mai 2013
L'univers cherche à apprendre à être.
Plus on est en relation avec ce que l'on aime, plus il y a de liens tissés, plus il y a une possibilité d'agir au niveau de l'information. Donner un exemple d'attitude, d'expression, est ce qui est recherché.
On oublie trop souvent qu'on ne part ni avec son corps, ni avec sa personnalité...
On part avec ce que l'on est, ce qu'on a réalité.
Une forme avec un potentiel... construit par le vide, dans le vide...
Cela donne une capacité.
Le corps physique ne change pas mais ce corps-là est très différent selon les individus.
Quelque chose nous force à dire... je suis... quelque chose...
Or il faut dire... je suis toute chose...
ne pas s'identifier.
Il n'y a pas à chercher "qui" je peux être, en réalité je suis "tout".
La conscience est comme un oiseau qui attend le bon moment pour éclore.
Ce bon moment est un niveau/état énergétique favorable.
Franchis la porte de l'amour. Il n'y a pas d'autre porte que celle-là.
à 18:32
10 mai 2013
9 mai 2013
Le degré de noirceur en chacun, visible en toute relation,
est proportionnel aux blessures,
si rien est fait pour les résorber.
à 03:48
3 mai 2013
Présence de passé et présence du futur : l'unité de l'instant présent. Ce qui a été et ce qui sera se trouve en même temps dans le même présent.
à 23:52
29 avril 2013
La conscience est un ensemble d'énergies et toutes doivent être intégrées et alignées
Comme les ingrédients nécessaire pour cuire le pain
Il en faut de chaque. Conscient, inconscient, et ce qui les unit.
Faire passer un message... Même s'il n'y a personne pour le lire, le message est là, il attend d'être ouvert.
L'ésotérisme est avant tout la capacité à être.
Trouver une continuité englobante dans la conscience.
Tout ce qui est initiatique vient d'un plan supérieur : ça se voit, et se sent, ça "brille".
Être... c'est le plus important... Il n'y a rien de visible et pourtant... C'est la seule chose dont on se souvient chez autrui, et c'est ce qui nous permet de nous souvenir... Les moments de conscience... L'invisible gère le visible. L'amour sont les liens qui nous enchaînent ou nous libèrent... C'est la nature, substance de l'être.
Densité, qualité d'attention, présence... est-ce que cela peut être modifié, changé ? Présence de quoi ? Cela suppose une "autre" personne
Pour emprisonner les gens, casser l'esprit en deux, et livrer de l'extérieur tout ce que l'esprit peut produire en meilleure qualité. Des ersatz, des drogues.
Organisation tripartite : scarabés. Arbres : deux pôles et un centre. Chercher le centre pour accroître les pôles. L'arbre puise ses forces en bas, la lumière en haut. Les deux : la vie.
Nous sommes ultimement de l'énergie. Il faut s'identifier à l'énergie et non au corps et alors nous pouvons mouvoir cette énergie par la pensée.
Nous avons l'éternité pour faire, mais nous n'avons qu'un instant pour être.
Connais ta lumière... Et tu connaîtras la lumière de ce qui t'entoure.
Plus on est dans tous les temps, plus on peut être en un instant. C'est une question de pureté d'intention.
L'âme est ce "quelque chose" d'indescriptible... comme un parfum.
à 17:32
17 avril 2013
Il y a des ouvertures où la conscience se projette dans le futur... où elle communique.
Pour communiquer elle doit établir un rapport,
cela se produit parfois quand on désire fortement, ou quand on est devant un fait accompli.
Dans les deux cas on établit un pont avec le futur.
Il est difficile d'établir un pont permanent.
Cela annulerait le temps et donc l'expérience.
On ne peut qu'augmenter cette communication pour voir plus large et plus loin, dans le présent, grâce à un point de vue libre de l'illusion.
La conscience est amenée à exister quand nous sommes amenés à nous voir, de l'extérieur, et il faut apprendre à reconnaître ce "quelqu'un" d'extérieur qui "voit".
à 06:40
13 avril 2013
On se définit toujours dans un rapport émotionnel vis à vis des autres
Si on cesse de le faire, la personnalité n'a plus de sens
à 15:21
6 avril 2013
Les pensées ont une puissance
Elles peuvent littéralement créer la matière
Si on leur donne le poids
à 15:20
Plus on est attiré inconsciemment et pleinement par tout ce que l'on voit dans le monde, et plus on est capable de vibrer à la fréquence de ce qui nous entoure sans se perdre dans les vibrations inférieures mais en offrant son regard aux lumières à naître, plus l'éternité se révèle.
à 03:39
4 avril 2013
Si les gens ne voient pas la réalité, et tout ce qu'elle contient, c'est parce qu'ils seraient morts de peur.
Mais si l'on veut voir les belles choses, il faut aussi voir ce qui est effrayant.
Il y a aussi la peur de perdre pied en rentrant dans un monde qui n'est pas partagé par la majorité
Si pas d'augmentation de "l'impression de soi", perte d'identité dès le contact avec l'inconnu du monde subtil
Immense problème... perte de l'esprit... Il faut regagner l'esprit
à 03:38
25 mars 2013
La conscience, c'est ressentir et percevoir à 100% chaque information ou paquet d'information de la réalité qui se trouve en soi.
Cette perception totale - pas à 40 ou 60 mais à 100% - est le seul chemin de la connaissance véritable.
à 04:12
L'amour est comme un charbon ardent, lorsqu'il brûle, il réduit tout en cendres, et lorsqu'il rougeoie jusqu'à la perfection, il disparaît totalement.
à 04:04
Ce qu'on appelle l'amour est l'augmentation de l'interaction avec les choses du monde.
C'est donc un état. Quand on atteint le point où l'on ne progresse plus dans la compréhension des choses, la vie s'arrête.
L'amour est le ressenti total de la vie des choses depuis un point de vue qui n'est pas le sien.
C'est comme si la conscience se transférait dans un autre réceptacle, celui d'une chose aimée, la conscience devient ainsi cosmique.
Dans notre état de chute, l'amour doit briser la surface solide de notre individualité pour se ressentir dans une autre chose, matériellement extérieure. Mais dans un état de gloire, la conscience a polarisé et magnétisé la personnalité ce qui permet l'ouverture de tous les canaux qui lui permettent de comprendre intérieurement la vie de tout ce qui l'entoure.
Ainsi se voit réalisée la transmutation du sexe, la plus haute énergie dans le corps.
L'émerveillement est alors permanent, la vie de toutes choses est révélée comme les couleurs au sein d'un cristal.
Communiquer avec la vie suppose être vivant soi-même, avoir recueilli la vie en soi.
à 03:37
24 mars 2013
La propriété de la conscience est de faire des allers retours dans le temps et de modifier les ondes du cerveau
à 03:33
20 mars 2013
Rien d'extérieur, ni d'intérieur, ne doit troubler la conscience
La conscience doit être assez vaste, pour tout accepter, et tout laisser aller
La conscience a besoin de s'affirmer, en cessant de se renfermer
La conscience doit tout rapporter au coeur et par la fréquence supérieure, changer toute noirceur en blancheur
Le royaume du coeur est la seule réalité
Le coeur est comme une ampoule
Il peut être allumé ou éteint
La conscience le maintient allumé et permet de ne pas traverser la vie en étant mort
à 03:29
13 mars 2013
Être le maître de son corps, de son émotion et de sa pensée,
C'est être l'élève de son esprit.
à 17:37
Je ne fais pas quelque chose dans le but d'obtenir quelque chose.
Je fais exactement ce que je sens que je dois faire.
De sorte qu'il n'existe plus de temps mais une focalisation et extension de l'attention.
à 17:36
10 mars 2013
L'inconscient est dans un autre temps, depuis lequel il connait le passé et le futur
Il induit des actions pour le conscient qui s'adapte a des situations qui ne sont pas encore présentes
L'inconscient est une intelligence qui connait et préserve ce que le conscient lui apporte, mais qui en plus est relié à toutes les autres "inconsciences"
Ce lien de l'individu avec le "collectif" est nécessaire pour l'inconscient car il perçoit le futur selon les probabilités non pas de causes matérielles mais de causes "spirituelles" dépendant de toutes les consciences
Communiquer avec l'inconscient est comme communiquer avec une autre personne hautement intelligente et sage, néanmoins l'inconscient dépend profondément de l'orientation et des désirs du conscient.
Le conscience correspond a un raisonnement matériel et l'inconscient a une pensée spirituelle, cependant l'un et l'autre sont nécessaires et doivent être alignés
à 03:13
7 mars 2013
Derrière le regard, il faut chercher l'idée
Derrière la vision du monde, il faut chercher l'idée du monde
Sans idée, sans vision, il n'y a plus d'habitude, il n'y a plus de connu, il y a l'origine de la vie
Mille façons d'être, mille façons de regarder le monde, milles personnalités
Mais quelle est la façon suprême ?
Voir la façon dont regarde tout ce que l'on regarde
L'information est dans le regard et voir autrement avec une information différente, c'est se rapprocher de la réalité
à 02:38
26 février 2013
L'énergie qu'absorbe l'homme et qui va du grossier (nourriture) au subtil (énergies fines), a deux sorts possibles.
Le premier est celui de la reproduction. L'énergie fine s'arrête au plus haut degré de notre réalité, et sert à créer un nouvel être.
Le second est la création du corps subtil. L'énergie fine peut passer de la reproduction à l'activation d'une sensibilité supérieure, mais pour cela, elle a besoin du choc nécessaire à son passage, et ce choc est celui de la perception, de la conscience.
En effet, par la reproduction l'individu cherche à fusionner avec une réalité extérieure intangible, il cherche donc à communiquer avec un niveau plus profond derrière les apparences.
Cette même communication est possible avec la conscience lorsqu'une haute sensibilité est activée, permettant un accès direct à la réalité spirituelle des choses. C'est alors en quelque sorte une "communion".
Sans cette activation, l'énergie fine restera au palier de la sexualité et ne servira qu'à la création d'un nouveau corps.
à 22:26
19 février 2013
Chaque personne, parce qu'unique, m'a donné un peu.
Je suis le composé de tous les composés.
à 04:56
Il y a essentiellement deux type de pensée
Celle qui pense que "tout peut arriver", et
Celle qui pense que "tout est déjà arrivé et ne peut que se reproduire".
L'univers réagit à notre type de pensée en nous attribuant plus ou moins d'énergie,
Et donc, nos destinées sont plus ou moins libres.
à 04:54
La musique contient et réveille une information,
La glande pituitaire active la zone cérébrale,
la musique ré-informe le corps.
à 04:47
La connaissance, c'est tisser des liens.
Plusieurs points de vue donnent de la profondeur aux objets.
Les mots d'un texte restent bidimensionnels, vide de sens, sans cette communication entre les points d'observation.
Les observateurs et les sources, forment l'objectivité.
Les regards sont comme des faisceaux qui éclairent de différentes couleurs, et si la "combinaison" est bonne, apparaît le blanc, l'objectivité.
Voir un objet objectivement ouvre un canal sur son "code source", sur son information holographique qui se trouve dans un espace hyperdimensionel.
à 04:46
17 février 2013
Nous avons souvent besoin de nous approcher de près d'un phénomène pour en connaître sa réalité.
Il faut qu'une météorite tombe pour prendre conscience de l'impact du phénomène.
Ou il faut être rentré dans le système pour en connaître ses rouages, ses mécanismes implacables de domination.
Ou bien avoir été témoin de phénomènes "extraordinaires" pour comprendre que notre réalité est une illusion sous surveillance.
Bref, il faut s'être ouvert à la connaissance des phénomènes pour être certain de leur réalité.
Tout est possible.
à 02:33
11 février 2013
Le plus troublant dans ce monde c'est que les gens ne sont pas des gens.
Ce sont des cristallisations d'influences cosmiques.
De sorte que toute interaction est une interaction avec un type d'influence cosmique, un principe, révélé en chaque être.
à 21:02
Deux possibilités quand on est séparé en conscience d'un idéal de soi.
Ou bien l'abandonner, ou bien l'intégrer.
Ce n'est possible qu'en descendant d'un niveau vers la matière (brisant la tension intérieure) ou bien en montant d'un niveau vers l'esprit.
La vision globale des aspects de soi les fait coïncider par ce regard surélevé.
à 21:01
Il est courant de dire que le temps et l'espace est une illusion.
Mais il est difficile de se représenter en quoi le temps et l'espace sont une illusion.
L'explication selon laquelle la réalité est perçue par le corps, et qu'il n'y a pas de "réalité", laisse à penser que "l'extérieur" est "loin" de nous.
Cela revient à recréer une illusion. Difficile de sortir de ce cercle.
Tout se passe donc à l'intérieur du corps.
Mais le corps que nous voyons est-il le "vrai" corps ?
Nous ne connaissons pas le corps, nous en avons qu'une illusion. Pourtant, tout se passe "dans le corps de la conscience", et c'est ce corps qui est inconnu.
En lui se trouvent toutes les réalités (toutes les dimensions et toutes les possibilités de corps).
Le microcosme et le macrocosme sont la MÊME chose.
à 20:58
10 février 2013
Ce qui construit et ce qui retient notre identité,
Et ce qui ouvre et dissout notre identité,
Sont deux forces opposées,
La plupart du temps perçues comme contradictoires.
Le désir lunaire et le rayonnement solaire.
Mais nous les séparons car nous ne percevons pas leur origine commune,
Désir de soi et désir du monde sont une même force divisée.
Elles s'affrontent toutes deux à la recherche de l'être.
Or les deux polarités de l'aimant sont en vérité une unité qui maintient et crée tout l'univers.
à 16:01
5 février 2013
La compréhension dérive de deux facteurs : l'acquisition de connaissance brute, et la capacité pour le cerveau de visualiser cette connaissance comme un élément intégré dans l'ordre des choses. Une vision du monde est déterminée par un "câblage" et chaque nouvelle connaissance nécessite pour être visualisée et intégrée un nouvel "effort mental" de "câblage", qui n'est pas effectué lorsqu'on n'a plus la possibilité (ex: carences alimentaires) ou la volonté de changer en conscience.
à 02:46
4 février 2013
Nous naissons avec un potentiel de libre-arbitre (luminosité) et un karma (obscurité, conditionnement).
Jetés dans ce monde, nous sommes confrontés à de multiples liens qui nous altèrent en terme d'énergie, c'est-à-dire d'information. Chaque "information" produit une manifestation, de même que chaque vibration sonore va produire une figure différente dans le sable. L'âme est un assemblage dynamique d'informations qui donne lieu à notre "corps". Tous les liens que l'on forme vont produire un échange d'information.
L'attention est un transfert d'information : le regard "informe", crée, rend "vivant"
Le personnes qui viennent avec une charge énergétique élevée vont être repérées comme pouvant soulager les autres (sous forme d'amour, d'attention).Mais cette attention portée n'offre pas la résolution du trouble (karma) d'une personne. Le trouble sera transféré au "guérisseur" ("soutien") et provoque dans sa vie les effets qui devaient concerner la personne ayant le trouble à l'origine. C'est ainsi que les maladies (des troubles au niveau du tissu informationnel, des "tâches d'obscurité" non informée) se propagent par des liens (empathie, attachement).
Une personne qui veut "aimer" veut en général faire porter ("partager") à quelqu'un d'autre ses troubles ("fardeau") pour se sentir mieux.
Mais cela entraîne une dépendance de la part de la personne qui s'est débarrassée du fardeau (car elle n'a pas dissout d'elle-même ce fardeau, elle n'a pas gagné en force/luminosité), et elle va avoir besoin de la personne "soutien" de façon régulière. Comme avoir faim pour un repas. C'est du vampirisme. La personne qui ainsi s'est proposée comme soutien recherchait aussi de l'attention, mais elle a reçu pour le prix de cette attention des influences très mélangées dans le "package", qui sont à la fois créatrices et destructrices.
C'est ainsi que nous sommes en tant qu'adultes des réceptacles d'influences très diverses qui affectent notre psyché, notre état énergétique et donc, nos choix, notre futur, notre vie (karma).
Donc, nous sommes reliés à diverses personnes qui ont planté leur "énergie", comme avec une "ancre" en nous, car nous leur avons permis de le faire. Pour chaque ancre retirée consciemment, chaque parcelle de luminosité récupérée, il y a une "compensation" à apporter (sous forme de cadeau, de remerciement...) Toutes les interactions quotidiennes impliquent un échange d'énergie qui, dans les conditions actuelles, est en majorité destructeur, car la plupart des gens ont un "fardeau", un karma, une obscurité, très importante; d'où le besoin de se "vouer" à autrui plutôt que d'être sa propre autorité et décider de sa vie en toute responsabilité.
Chacun donc, chercher à faire peser sur autrui son ombre dès que l'occasion s'en présentera.
Cela produit la projection, le transfert, et ce qu'on appelle communément "amour". Si ce "transfert" de son ombre était impossible, il y aurait une impression d'insatisfaction profonde puis de désaveu devant cette tentative d’hameçonnage interrompue. Le problème de tout cela est que chaque fil du karma est comme un lien qui empêche à l'âme (l'oiseau) de s'envoler et prendre sa réelle dimension. Nous sommes comme prisonniers d'une toile d'araignée reliant les esprits et nous rattachant au principe entropique, destructeur et anti-être, qu'ont choisi une majorité de personnes.
De la sorte, il est facile de se "perdre", tout le trouble du monde extérieur est injecté en soi, et nous dissocie de l'intérieur.
à 17:27
23 janvier 2013
Comment se libérer du système de prédation ?
On remarque que depuis la plus jeune enfance les personnes de notre entourage accaparent notre attention
L'attention est ce qui détermine notre capacité à effectuer des choix et c'est aussi une faculté directement liée au "flux", c'est-à-dire la nourriture de notre âme.
Avec cet entourage emprisonné dans la matière, nous avons (en grande partie inconsciemment) des liens formés avec de multiples personnes qui ont espéré s'introduire en nous (également sous le couvert de "l'amour") pour recevoir une partie de ce flux.
Ainsi connecté, elles reçoivent en permanence ce flux et nous avons oublié leur emprise.
C'est inconscient. Notre attention ainsi contaminée par la "vie", du "karma", de l'essence d'autrui, se regroupe dans une âme groupe qui empêche toute libération
Notre autorité propre se voit diluée dans l'ensemble des cerveaux faisant partie d'un immense système de broyage de l'individualité.
Tout peut se comprendre en terme d'information et d'attention.
Toute relation suppose un échange (plus ou moins unilatéral) d'informations (le karma est une information, le corps et la forme de l'être en sont aussi une) par le biais de l'attention.
Nous devons former des réseaux, mais une grande attention devrait être portée à la teneur des liens, car tout lien vampirique (ce qui est la norme dans ce monde) réduit proportionnellement d'autant notre capacité à capter et retransmettre le flux (qui procure le libre arbitre)
Libre arbitre, inspiration, créativité, etc
C'est pourquoi un isolement prolongé de la société (physique mais aussi et surtout énergétique) nous rend nos facultés créatrices
Nettoyer toutes ces relations vampiriques (qui laissent présentent dans l'esprit et dans l'énergie le "goût" de la personne) est un premier pas, le second est l'apprentissage de la maîtrise de l'attention pour être conscient de toutes les "sorties" et "entrées" d'énergies par les câbles qui relient les personnes.
à 23:03
21 janvier 2013
Cette carapace ne supporte pas l'énergie spirituelle
Je dois trouver autre chose qui la supporte
à 22:58
10 janvier 2013
Comment utiliserions-nous l'énergie si nous en recevions en grande quantité ?
La vie apprend à ne pas utiliser l'état d'énergie pour soutenir ses propres faiblesses.
L'état d'énergie réalise le grand oeuvre quand il soutient le moi réel et non la personnalité.
à 22:29
8 janvier 2013
Quand les pôles sont réunis, la force vitale ("sexuelle") afflue
Mais il faut réunir ces pôles dans son propre corps
Il y a une distance aussi grande en soi même qu'entre deux personnes
à 07:02
Chaque infime progrès du coeur provoque, comme dans un kaléidoscope, la réorganisation du faisceau lumineux qu'il capte et retransmet au coeur
Toutes les facettes du corps sont les reflets de ce faisceau et l'infime changement de son ouverture fait permuter l'être tout entier
Le monde s'attaque en permanence à cette ouverture
C'est pourquoi une force intérieure doit pouvoir la maintenir ouverte
De sorte que la lumière puisse rayonner sans être obscurcie par les influences du monde
Car une fois que l'ouverture dépasse une certaine grandeur, le monde tout entier est englobé et plus rien n'est à même de le refermer
à 07:02
L'esprit est très différent de l'animal
L'animal oublie souvent l'esprit
Un grand mystère se trouve dans ce qui choisit à chaque instant l'un ou l'autre
Ce choix de chaque instant détermine toute notre expérience de la vie sur terre, la liberté, la chance
La raison en est que l'esprit sait beaucoup mieux ce vers quoi nous allons, et ce que nous étions, que l'animal, dont le répertoire est limité aux instincts et impulsions
à 07:02
Il n'y a que deux poles à toute chose
Pensée et matière
Dans le corps aussi
L'émotion est ce qui se trouve entre, et qui produit tout le vécu
c'est par une progression, une réorganisation de l'émotion, que la pensée et la matière (corps) deviennent plus spirituels
Une réelle réorganisation du coeur, est si difficile que guère sont ceux qui réussissent ne serait-ce qu'à changer un iota de leur nature
à 07:02
7 janvier 2013
Pourquoi un chien est-il un chien ? Ne peine-t-il pas pour évoluer, apprendre, devenir humain, ce qu'il ne peut être ? N'est-ce pas injuste ?
N'est pas aussi injuste que l'âme soit dans une si terrible ignorance, qu'elle doive subir autant d'errance, pour apprendre et évoluer, pour être ?
Toute la nature n'est-elle pas au fond injuste ?
à 07:01
6 janvier 2013
Quoi de plus terrible que de "construire"
Chaque maison sera une ruine
Quoi de plus glauque et effrayant que des maisons en ruine
Et avec les incarnations, des villes qui se construisent et tombent en ruine
Pourquoi construire ?
pourquoi faut-il chercher, chercher, apprendre et réapprendre, cent fois, mille fois, alors que nous regorgeons déjà de la connaissance ?
à 07:01
Comment retrouver l'état d'innocence, lorsque après toute une vie, le monde nous a dévié de nous-mêmes ?
à 07:01
La perte de l'état d'innocence est une réalité dans notre vie même
Par le conditionnement à la mortalité nous cherchons ailleurs ce que nous avions intact et par ce désir nous nous lions au désordre de la matière de ce monde.
Retrouver l'état d'innocence et mettre fin au désordre intérieur par la connaissance de soi permet de récupérer un potentiel dilapité par son propre désir de l'expérience de ce monde.
à 07:01
L'univers est mental
L'univers est conscience
Dans ce monde, tout est une question de pensée
Les pensées forment l'état d'esprit
L'état d'esprit crée l'énergie correspondante
L'énergie produira la volonté et donc le degré de liberté disponible
à 07:01
O mon coeur
Réorganise ma tête
Et réorganise mon ventre
Pour qu'ils puissent se rejoindre
et rayonner de toute mon énergie vitale.
à 07:00
Comment rester "soi", en vie, alors que la mort guette à chaque instant ? Comment vivre dans l'ignorance de la mort, tout en vivant dans la conscience de la mort ? C'est un paradoxe que seule peut résoudre la conscience.
à 07:00
5 janvier 2013
On capte la pensée ou on pense par un seul "éclat" dans la tête
Mais a-t-on essayé de penser par la tête toute entière ? De se représenter sa pensée (et celle d'autrui) par la tête toute entière ?
à 07:00
4 janvier 2013
Un brave petit coq. Il y a longtemps, ce conte enseignait quelque chose que je formulerai maintenant comme ceci : le coq (la lumière) descend de sphères hautes et subtiles pour jouer un bon tour à la "hiérarchie noire" en se faisant passer pour sa nourriture et en cassant les dents de chacun d'eux, empoisonnant toute la chaine jusqu'au sommet, l'oeil invisible et maudit. Venir jusqu'ici n'aurait servi qu'à cela, épanouir la lumière autant que possible tout en "jouant un bon tour" à ceux qui penseraient gouverner des univers dans des univers. Ceux ci se casseraient les dents sur un seul diamant, et le diamant est inaltérable.
à 06:59
Donner la vie ce n'est pas seulement un acte c'est aussi une pensée
C'est soutenir un projet sans savoir s'il "marchera", ou non
C'est investir dans une société sans savoir si elle "rapportera" forcément
C'est donner l'occasion à ce qui est dans l'ombre de passer à la lumière
C'est aimer sans attendre en retour, mais avec l'intention que l'être s'accomplira
C'est ce que fait le divin pour toute la nature, il nourrit tous les êtres en leur donnant la possibilité d'Être
Car plus on Est, plus on peut donner et aimer en proportion
Aimer c'est "j'ai confiance en ce que tu peux être, ce que tu n'es pas (encore)"
L'amour n'est pas toujours justifié, car aimer quelque chose qui est mais qui ne cherche pas à s'accroître, progresser, s'accomplir, c'est donner sa vie à la mort
Ce qu'on accomplit et ce qu'on est, n'a pas de valeur, mais ce qu'on peut accomplir et ce qu'on peut être a de la valeur
C'est dans ce "potentiel" obscur, dans ce pouvoir, qu'est toute vie, tout amour.
à 06:59
2 janvier 2013
Il y a des déficiences qu'on ne peut combler que par l'imagination, en imaginant la "fréquence" manquante et en la répercutant dans la réalité pour l'intégrer à soi-même.
à 06:59
Pourquoi atteindre l'inconscient est il si dur, alors qu'il est toujours... juste là, et qu'il a toutes les réponses, les solutions ?
C'est un grand mystère que cette séparation d'avec cette présence absente, dormante, non activée.
Et pourtant, il s'y trouve un être contre lequel les prédateurs ne peuvent rien, un être qui échappe à toutes les classifications.
à 06:58
1 janvier 2013
Parfois je suis heureux, mais je ne suis pas libre
Parfois je suis malheureux, mais je ne suis pas libre
La liberté n'est ni heureuse, ni malheureuse.
à 21:31
On a la capacité de lutter pour notre liberté en choisissant nos lignes temporelles
C'est ce qui fait notre divinité
à 21:29
Se conformer à cette société, à cet environnement, c'est mourir.
Ceux qui le font deviennent des dangers à ceux qu'ils aiment,
Car ils ont perdu la capacité d'aimer.
à 21:29