Souvent quand je pense à des choses importantes, à ma vie,
Il n'est aucun empire humain, Au dessus de moi je ne vois que des oiseaux de mer.
24 septembre 2011
22 septembre 2011
Sur Terre, on ne voit pas qu'elle est ronde et qu'en marchant indéfiniment, on reviendrait toujours au même point.
à 20:22
19 septembre 2011
Le contrôle des populations est lié au contrôle de l'esprit. L'esprit créé l'énergie. Pour contrôler les populations il suffit d'induire un état d'esprit d'esclave aux individus libres, et ce par le mensonge. La vérité rend libre parce qu'elle rend à l'individu le pouvoir de choisir par la pensée son état d'esprit. La liberté de l'esprit est la seule liberté et un esprit libre est un individu libre.
à 12:54
16 septembre 2011
La spiritualité n'est pas une pratique,
à 12:27
Quand je vis, j'ai l'impression que tout est déjà fini et que les gens sont déjà morts,
à 12:25
L'impression de tout connaître autour de soi,
à 12:23
13 septembre 2011
6 septembre 2011
A chaque fois que je me suis demandé ce que je faisais ici,
à 22:22
31 août 2011
Sortir du film
Perçue de loin, la vie est un "film", qui est entièrement fixée de la naissance à la mort, car les possibilités de changement sont closes dès que l'âme est incarnée.
à 06:10
27 août 2011
J'ai l'impression que je connaissais déjà chaque personne que je rencontre,
à 00:39
22 août 2011
Il faut découvrir l'état d'esprit de plénitude
à 18:50
L'énergie de l'esprit est comme une bulle si légère sans cesse repoussée
à 18:50
L'esprit, c'est la rosée du matin,
à 18:49
Le vampirisme c'est frapper à la maison de quelqu'un... d'autre car il y a de la lumière et il fait chaud. Et revenir frapper encore, encore, et encore...
à 18:48
20 août 2011
Penser à Soi,
à 01:55
9 août 2011
Anne Clark - Our darkness
And we'd talk of it with idealistic assurance
That it wouldn't tear us apart
We'd keep our heads above the blackened water
But there's no room for ideals in
this mechanical place
And you're gone now
Through a grimy window that I can't keep clean
Through billowing smoke that's swallowed the sun
You're nowhere to be seen
Do you think our desires still burn
I guess it was desires that tore us apart
There has to be passion
A passion for living, surviving
And that means detachment
Every-body has a weapon to fight you with
To beat you with when you are down
There were too many defence between us
Doubting all the time
Fearing all the time
Doubting all the time
Fearing all the time
That like these urban nightmares
We'd blacken each other skies
When we passed the subway we tried
to ignore our fate there
Of written threats on endless walls
Unjustified crimes carried on stifled calls
Would you walk with me now through this pouring rain
It used to mingle with our tears
then dry with the hopes
That we left behind
It rains even harder now .
à 01:49
12 juillet 2011
La vie est une longue affaire, elle ne s'arrête jamais.
à 02:17
La liberté est avant tout une impression de beauté,
à 02:16
7 juillet 2011
Chacun est en potentiel le Tout, la lumière
à 02:40
2 juillet 2011
à 00:01
23 juin 2011
Lorsque le souvenir est souvenu à l'instant même de sa création,
Lorsque je vis ce que j'ai déjà vécu,
Lorsque l'instant contient toutes les parties de lui-même,
à 02:28
20 juin 2011
à 02:00
Libérer tous les poids qui pèsent sur le coeur,
à 01:43
J'ai trouvé ce que Je Suis,
à 01:29
J'ai trouvé ce que Je Suis,
à 01:20
La voix du monde parle en moi,
à 01:06
Lorsque j'occupe mon esprit à une activité répétitive et lassante,
à 00:59
16 juin 2011
Je vis ici parce que je suis cristallisé,
à 18:50
14 juin 2011
L'expérience de la vie s'apparente à la recherche de l'or avec une bâtée, dans une rivière.
à 02:41
11 juin 2011
8 juin 2011
Dans chaque sensation il y a une énergie,
à 03:58
à 03:38
L'enfant arrive léger, libre d'expression,
à 03:18
A chaque véritable changement intérieur, le monde paraît différent. Parfois il parait si différent qu'on penserait le voir pour la première fois de sa vie.
à 03:17
2 juin 2011
25 mai 2011
Rêve 21 mai
à 01:40
"Se sentir bien", c'est être attentif à ses sensations, être présent. C'est aussi le cas lors de la souffrance, c'est pourquoi on pourrait dire que l'on se sent bien lorsque l'on souffre beaucoup. A chaque fois, l'esprit peut s'incarner dans la matière. Quelque chose d'extérieur l'en oblige. Le travail se résume à amener l'esprit à s'incarner.
à 01:39
14 mai 2011
Le manque est toujours un manque de vie
La vie nous est apportée par la vision du sacré
Par une grâce incroyable le sacré nourrit l'être.
La reconnaissance du sacré dans le monde,
Provoque l'exultation des forces de vie intérieures,
Qui à leur tour nourrissent le monde,
Ainsi l’œuvre splendide est menée à son terme.
à 00:19
Nouveaux-nés,
Vos esprits sont ouverts,
mais déjà vos mains se ferment
Votre capacité à recevoir touchera à sa fin,
Vos esprits flétrirons, votre corps contracté se tordra désordonné.
Il est aisé de faire, ardu de défaire,
Notre conscience de soi, n'est que la sensation des doigts sur notre paume,
Le reflet d'une illusion par une autre,
Ce n'est qu'une contraction qui a pour œuvre la destruction
et pour fin l'anéantissement,
C'est pourquoi il faut hâter l'anéantissement pour ne pas se perdre en chemin.
Cette expérience terrible à laquelle chacun tente d'échapper,
Celui qui l'accueille atteint la béatitude,
Celui qui par la mort est rétabli,
Est né de nouveau.
à 00:16
12 mai 2011
Combien de temps passé à se demander "suis-je comme les autres veulent" et à tenter de rectifier quelque chose qui n'a pas besoin ni ne doit l'être ? Combien de temps passé à penser aux apparences ? Pourquoi chercher à perfectionner ce qui est déjà parfait ? D'où vient cette volonté qui détruit la vie là où elle se trouve ?
à 00:27
Je fais; quelque chose en moi ne fait pas.
à 00:12
à 00:11
Les hommes sont aisément surpris, et aisément déçus,
à 00:10
8 mai 2011
Pris dans le passé. Moi et ce qu'il y a autour de moi sont entièrement du passé. Ma conscience se trouve au-delà et quand elle resurgit elle me demande - que fais-tu dans le passé ? et elle m'appelle - passe la porte oubliée et rejoins-moi.
à 10:07
22 avril 2011
Un désir et une crainte forment un déséquilibre
à 13:15
21 avril 2011
Le but... : accumuler assez d'énergie (en faisant cesser toutes les tensions une à une, pour laisser émerger l'a-ttention) afin de pouvoir vivre tous les évènements de sa vie en même temps (évènements passés, actuels, futurs, peu importe).
à 12:34
18 avril 2011
20 mars 2011
I have the impression of emerging from a dream. Everything is real. I feel free, and at peace. In this state, I do not seek, I do not wish, I do not expect anything. There is only what "I am" in this moment. I know now how I am here and why I am here.
à 05:40
13 mars 2011
La matière... fine couche cristallisée de substance perceptive... la chaleur l'approche et l'explose d'un seul coup.
à 23:35
11 mars 2011
Ne sachant alors où aller, je rencontrai un vieil homme aux cheveux grisonnants, dont la seule occupation était de répéter l'alphabet dans un sens, puis dans un autre, journées après journées, sans qu'il ne comprit ce qu'il se passait dans son esprit. Quelque chose lui faisait répéter les lettres de l'alphabet, sans qu'il n'y comprit rien, et sans qu'il ne sache pourquoi il le faisait. Ce vieil homme marchait avec difficulté, mais décrivait à la fin du jour un cercle parfait qui lu permettait ainsi d'arriver exactement là où il s'endormait le soir. De ce manège, dont il ne semblait pas conscient, il paraissait même satisfait. L'ordre avec lequel il exécutait ses gestes atteignait la perfection, mais il cherchait cependant à la reproduire avec une perfection plus grande encore.
J'avais le dessein lui dire, sans toutefois le brusquer, qu'il y avait de grandes chances qu'il périsse assoiffé ou affamé, ou victime d'un obstacle qui mettrait à jamais un terme à son existence. Je choisis finalement de le suivre, avec silence et sans jamais dévier de sa route. Avec grande difficulté, j'arrivai à reproduire son pas régulier et la courbe de sa marche circulaire, pour le soir m'endormir au même moment puis reprendre de la même façon le lendemain. Je continuai ainsi, espérant découvrir la raison impérieuse qui devait gouverner une telle existence.
Plusieurs cycles s'étant répétés, et n'ayant toujours pas obtenu de réponses, je décidai de légèrement dévier sa course en modifiant l'orientation de certains objets qu'il était habitué à rencontrer sur son chemin. Incapable de comprendre la raison de ces changements, et n'ayant toujours pas remarqué ma présence derrière lui, il se mit à pousser un cri terrible qui le replaça instantanément sur la route qu'il s'était fixé depuis, peut-être, une époque très reculée. Devant l'inefficacité de mon stratagème, je décidai alors de me placer en face de lui dès son réveil, peut-être ainsi me répondrait-il. J'observai attentivement le soleil se lever, et tout de suite l'expression de son visage se raidir, puis quelques nerfs s'agiter. C'est lorsqu'il ouvrit les yeux que je remarquai une chose terrible. Il y avait dans son regard la même noirceur pesante et glacée qui recouvrait les esprits de la ville.
Pour la première fois, je le voyais prendre une autre direction. Comme alerté par une menace inconnue, il s'approcha de moi, poussa un grand cri et se mit à me poursuivre. Longtemps après, je gardai le souvenir de cette mésaventure. Il me semblait ne pas pouvoir la comprendre. Mais un jour, tout était clair. Les mouvements que j'avais observé en ville me rappelaient la marche du vieil homme et je finis par saisir l'évidence : le nombre des années réduisant la force de l'impulsion, l'amplitude des gestes et la qualité de l'effort, le cercle que je ne percevais par dans la ville avait fini par tant rétrécir qu'il était distinctement visible aux yeux de n'importe quel voyageur.
à 04:28
La recherche d'une vie et la recherche d'une âme sont une seule et même chose. Dans la nuit, je ne savais où aller. Puis je vis une porte, revêtue de plusieurs couleurs mélangées, prise comme dans un étau par le mur, repoussée de tous côtés, et aspirant mon regard. Plus je m'approchais, plus la chaleur était intense, et lorsque je saisis la poignée, je fus projeté dans un espace vide, dont je ne compris ni le sens, ni l'orientation. J'aperçus enfin quelques lueurs, qui ressemblaient à des nuages épars, puis un horizon de vagues morcelées, et dans les ténèbres, je traversais les cieux et arrivais sur le sol.
Autour de moi, comme dans un mauvais rêve, des courants glacés m'enserraient peu à peu, jusqu'à ce que mon âme délavée et délaissée, m'abandonna. Je vis une lumière monter, disparaître enfin de mon champ de vision, et je sus que mon voyage était sans retour. Mes troubles prirent fin et ma conscience se stabilisa. Je vis quelques reflets apparaître, sur une terre insipide et malléable, et mes doutes s'écartèrent, car enfin je perçus dans quelle terrible situation je me trouvais.
Je fis donc trois fois le tour de la terre. La première fois, je vis la vacuité, je ressentis du chagrin. La seconde fois, je vis la vanité, je ressentis du remords. La troisième fois, la vérité me frappa comme une pierre sur un crâne dégarni : cette aventure est une farce, et j'arrêtai toute entreprise d'exploration. Je me réveillai alors derrière un carreau, au dernier étage d'un grand immeuble, terne, habituel, comme fabriqué de poussière. Un grand nombre d'êtres inconnus se blottissaient entre ces murs froids et imbriqués, éclairés de lumière artificielle. Au-dehors, le ciel irisé étouffait les sirènes s'élevant de la tiédeur invisible composée par autant d'édifices de ce genre.
Avais-je perdu l'esprit ? Je me mis à courir, dans toutes les directions. Il fallait regarder attentivement, peut-être l'issue était-elle proche, insoupçonnée, derrière ce vieux portail, au fond de cette cour, ou bien au-dessus des toitures, entre ciel et terre ? Peut-être à l'endroit même où je me tenais ? Mais au milieu de cette nuit n'appartenant à aucune saison, je savais que je ne pourrais résoudre ce mystère, je m'assis donc à même le sol, en attendant le lendemain. Je savais aussi que cette ville étrange attendait de moi un tribut, et je sachant pas de quoi il s'agissait, j'attendais qu'un signe puisse m'expliquer ce qu'il me restait à faire.
Je me levai résolu, et je vis la circulation reprendre peu à peu comme motivée par un fil reliant chacun à une destination inconnue, et je vis chacun s'avancer, furtivement, au travers des rues et avenues, vers les activités que livraient cette nouvelle journée. Encore transi par le froid, je réalisai qu'une grande partie de mes pensées de la nuit précédente, que je devais appliquer désormais, avaient perdu leur cohérence. Elles s'évanouirent rapidement de mon esprit, tandis que je m'observai les nombreux fils invisibles des êtres qui passaient dans un sens, puis dans un autre, et je m'efforçai de comprendre ces mouvements ordonnés.
Je rencontrai alors une enfant, élusive et frêle comme un pétale, qui semblait également égarée. Elle ne répondait à aucun nom, et me guida jusqu'au centre de la ville, pour me pointer une très ancienne et curieuse fontaine, dont l'eau brillait d'une couleur que je jurai connaître. Tout en haut d'une colonnade, s'épanouissait trois fleurs blanches, fines et harmonieuses. Je fus saisi de stupeur lorsque je les vis noircir et flétrir dès lors que je m'en approchai. Je compris alors que je ne pourrais les atteindre sans recevoir une aide extérieure, capable d'extraire de mon corps les facteurs à l'origine de ce funeste effet. Sans mot dire, je me retournai et compris. Douce, voluptueuse, la mort retire le soupçon de légèreté au-dessus des êtres. Dès cet instant, je sus que la mort était en moi, et qu'elle me suivrai. Je suffoquais, car je manquais de toutes choses, n'avait d'autre choix que d'obéir, de supporter un être que je connaissais pas, qui reçut mon propre nom, et horrifié, j'avançais malgré tout. J'avançais et je continuais, misérable et mortel, retrouvant à l'esprit des souvenirs que personne n'aurait osé demandé.
Il y a dans la beauté le reflet du futur, ce qui n'est pas beau appartient déjà au passé et disparaît en lui. Ce qui est beau vit au-delà de la sphère d'existence, Une faible poussière s'élève dans la lumière et disparaît. Un tourbillon s'élève et la vie des hommes s'éteint. Maintenant qu'il ne subsiste rien, un grand dômes de nuages ocres me recouvre, le passé entier y est inclut. L'expression ainsi que les impressions sont un soufflet qui comme une boule, rétrécit au fur et à mesure que le feu de la destruction s'allume. Il y a en chacun un germe de vie et un germe de mort. Le germe de mort, irrésistible et puissant, s'immisce entre toutes les parties de soi; aussi fines qu'une poussière, elles s'envolent. La vie, flamboyante, douce comme l'eau, appartient à d'autres contrées. Lointaine et pure, elle virevolte dans la lumière.
Je descendis sous les nuages de la destruction et je détruisis, L'esprit de mort entra en mon âme et fit des cendres de l'arbre céleste. Dans la pénombre, dans nos villes froides et bruyantes, je vis l'empire de l'esprit de mort. Se reconnaissant dans cette chambre cubique, sous le voilage obscur des désirs, et l'agitation, la distorsion défigurée, la mort et le temps m'entrainèrent, me donnèrent un numéro, firent de moi une ineptie. Sans espoir, je désirais quitter la périphérie des mondes, les assemblages vides qui, soumis à la pression, forment des corps et des histoires. Je suis devenu une forme, aride et sèche comme une pierre. La mort est originale, offrant toujours une variation supplémentaire, et variation je devins, j'exhibais, comme une poule caquette et un singe vocalise. Ma voix originale se transforma en cendre, de ma bouche sortit des cendres, mon corps s'ouvrit et me laissa voir une poudre qui s'échappa et se dissipa. Ma peau originale se flétrit, épousant les contours du sol, mes os apparurent et mon crâne sécha. Après plus d'un mois, trois gracieuses fleurs s'épanouirent, d'une blancheur immaculée.
Qu'est-ce que notre histoire, effrontément sale, inepte et rabougrie; qu'est-ce que soi-même, libre et stellaire, passant au travers du pire couperet, du plus étroit des goulots ? Le résultat de ce funeste tracé égoïste : des cendres, toujours et sans s'arrêter. Notre histoire, grande tapisserie ennuyeuse, réduite à un seul fil, auquel nous tenons, et sommes enchainés. Alors je partis. Je pris ce fil, l'allumai d'une flamme sérieuse, me retournai en moi-même, je pris la route par laquelle j'étais venu, j'enflammai et soufflai les cendres. L'histoire est étrange, elle s'enroule sur elle-même sans se laisser voir à moins d'avoir soi-même tourné, et inspiré chaque pelure d'oignon, assimilé chacun des nutriments qui la composent, et brûlé les poux qui s'en nourrissent.
Le vent prend source au-delà des dunes, l'eau abonde d'un point situé au-delà de l'horizon, le soleil arrache sa chaleur dans une tête d'épingle, la vite tire son origine des grandes profondeurs. Puis les éléments se construisent et rayonnent différents aspects de la source une. Enfin, les grands flux se tarissent et reprennent vie dans le terrible un. Ainsi tous les êtres se renouvèlent et toute la nature se régénère. Lorsque le chemin s'arrête, lorsque la branche se dessèche, chaque pas alourdit l'erreur. Volonté impie, parasite sur l'arbre, pourquoi continuer ? Ce furent mes pensées alors que je traversai la ville, et me demandait quelle mystérieuse force agissait autour de moi, emmenant les êtres là où ils ne le désiraient pas, emmenant des volontés captives là où il ne subsisterait qu'une ombre. Quelque chose de noir et de froid avait pris possession des volontés, mélangé chaque esprit dans une boue plus noire que noire, planant au-dessus des hommes, les piégeant dans un précipice sans fin, obscurcissant leur conscience de mets dérisoires. Alors que je sentis la fin approcher, je décidai de partir, sans prendre aucune miette d'un festin auquel je ne participai pas et qui m'avait révulsé. La nuit était tombée, et personne ne me cherchait plus.
à 04:28
23 février 2011
"Love affects more than our thinking and our behavior toward those we love. It transforms our entire life. Genuine love is a personal revolution. Love takes your ideas, your desires, and your actions and welds them together in one experience and one living reality which is a new you. You may prefer to keep this from happening. You may keep your thoughts, desires, and acts in separate compartments, if you want: but then you will be an artificial and divided person, with three little filing cabinets: one of ideas, one of decisions, and one of actions and experience."
à 00:03
21 février 2011
Égaré dans l'obscurité,
à 03:01
15 février 2011
à 02:56
14 février 2011
Un corps qui vieillit
à 17:54
10 février 2011
Sans l'esprit, tout dans le monde est poussière.
à 19:50
9 février 2011
à 04:32
A quelle distance de pensée doit-on aller,
à 00:54
3 février 2011
Il y a dans la tristesse une force qui s'obtient en luttant contre elle. C'est une force secrète que le moi féroce et avide garde jalousement dans son champ d'influence.
à 03:58
2 février 2011
1 février 2011
Être comme une longue série de numéros, qu'il faut lire,
à 15:51
31 janvier 2011
à 03:44
Le monde regarde le dormeur
à 00:08
19 janvier 2011
Ignorance is the mother of [all evil] Ignorance leads to [death, because] those who come from [ignorance] neither were not [are] nor will be. [But those in the truth] will be perfect when all truth is revealed. For truth is like ignorance. While hidden, truth rests in itself, but when revealed and recognized, truth is praised in that it is stronger than ignorance and error. It gives freedom.
à 02:19
18 janvier 2011
Jeanne de Salzmann - Poème
Je suis là, vivante, et autour de moi existe l'univers entier,
La vie qui est autour de moi est en moi – Je ressens cette vie universelle –
La force de l'univers derrière moi –
Autour de moi des forces existent et je suis parmi elles –
Je me sens exister –
Tout m'y aide –
Même le coussin sur lequel je suis assis m'aide –
Je me sens une partie du monde qui m'entoure –
Je suis là, éveillée à ce que je suis
Et je vois que c'est là la chose la plus importante : être –
Je le sais, maintenant –
Et maintenant je le sais, je reste en relation avec tout ce qui m'entoure,
Il n'y a pas avant, ni après. Il y a la vie même
J'ai l'impression de sortir d'un rêve.
Tout est réel –
Je me sens libre et calme –
Dans cet état où je ne cherche pas, je ne désire pas, … je n'attends rien que ce que je suis en cet instant
Je saurai alors comment je suis là et pourquoi je suis là
Jeanne de Salzmann
à 00:41
15 janvier 2011
13 janvier 2011
De La Barca
SIGISMOND. Il dit vrai. — Réprimons donc ce naturel farouche, ces emportements, cette ambition, pour le cas où je viendrais encore à rêver. Il le faut et je le ferai ; puisque je suis dans un monde si étrange que vivre c’est rêver, et que je sais par expérience que l’homme qui vit rêve ce qu’il est, jusqu’au réveil. — Le roi rêve qu’il est roi, et il vit dans cette illusion, commandant, disposant et gouvernant ; et ces louanges menteuses qu’il reçoit, la mort les trace sur le sable et d’un souffle les emporte. Qui donc peut désirer de régner, en voyant qu’il lui faudra se réveiller dans la mort ?… Il rêve, le riche, en sa richesse qui lui donne tant de soucis ; — il rêve, le pauvre, sa pauvreté, ses misères, ses souffrances ; — il rêve, celui qui s’agrandit et prospère ; — il rêve, celui qui s’inquiète et sollicite ; — il rêve, celui qui offense et outrage ; — et dans le monde, enfin, bien que personne ne s’en rende compte, tous rêvent ce qu’ils sont. Moi-même, je rêve que je suis ici chargé de fers, comme je rêvais naguère que je me voyais libre et puissant. Qu’est-ce que la vie ? Une illusion. Qu’est-ce que la vie ? Une ombre, une fiction. Et c’est pourquoi le plus grand bien est peu de chose, puisque la vie n’est qu’un rêve et que les rêves ne sont que des rêves.
Si tout cela n’est qu’un rêve, si tout cela n’est que vaine gloire, quel homme, pour la vaine gloire de ce monde, perdra ainsi follement une gloire divine ? Est-ce que le bonheur passé n’est pas un rêve ? est-ce qu’en se rappelant les plaisirs qu’on a goûtés, on ne finit pas toujours par se dire à soi-même : j’ai rêvé tout cela ?… Eh bien ! puisque voilà mes illusions tombées, et puisque je suis désormais convaincu que le désir n’est chez l’homme qu’une flamme brillante qui convertit en cendres tout ce qu’elle a touché, — poussière légère qui se dissipe au moindre vent, — ne pensons donc qu’à ce qui est éternel, et à cette gloire durable où le bonheur et la grandeur
n’ont ni fin, ni repos, ni sommeil…
à 23:26
9 janvier 2011
Deux choix, pas un de plus
à 07:28
La réalité est imperceptible, subtile et légère
à 07:27
Tous les péchés ont pour cause un manque de Foi
à 07:26
L'Etoile est la porte dans l'obscurité
à 07:24
L'énergie de l'enfant au réveil
à 07:22
8 janvier 2011
6 janvier 2011
Remords de conscience
Le soleil est aussi le sol, ce sur quoi l'on se tient. Tout le monde sait à quel point il est difficile de s'appuyer sur une vive lumière brûlant tout ce qui fait obstacle à son passage.
à 23:02
à 22:38
5 janvier 2011
La pierre n'est pas la pierre,
à 19:28
4 janvier 2011
Chaque expérience laisse une impression, imprime sur la toile un motif et une coloration,
à 17:59
3 janvier 2011
à 21:06
Quelle situation des plus déplorables dans laquelle l'homme est,
à 03:56
2 janvier 2011
La totalité de moi-même m'échappe. Où vais-je la trouver ?
à 21:25
1 janvier 2011
Strange life of Ivan Osokin
à 21:35
Réduire sa vie peu à peu
à 18:26
Un jour de brouillard
à 18:25
Du 3 au 2, du 2 au 1.
Une division polarise tout autour d'elle, la vie, la mort, et l'être entre les deux.
à 04:33
Nous sommes nos souvenirs.
à 03:28
Imaginez visiter une contrée lointaine, faire un long voyage,
à 02:38