Il a une faille élémentaire que partagent tous les guru et autres illuminés.
L'accès à une certaine connaissance - le premier accès à celle-ci, détermine toute la construction qui s'y ajoute.
La première expérience apporte des bases qu'aucun ne voudrait renier (en partie), réfuter, modifier.
L'accès à une certaine connaissance - le premier accès à celle-ci, détermine toute la construction qui s'y ajoute.
La première expérience apporte des bases qu'aucun ne voudrait renier (en partie), réfuter, modifier.
Cette personne se contentera simplement d'élaborer et d'intégrer tout ce qui est intégrable à sa vision première - les fondements sont devenus inamovibles.
Tout autre objet conceptuel devra être associé aux structures initiales, si bien que ceux-ci devront être adaptés. Cette adaptation n'est pas sans poser quelques problèmes d'importance cardinale: si l'on adapte, on modifie - on ne prend qu'une partie. L'univers entier se retrouve donc modifié à la structure illuminatrice. Les cohérences sont anesthésiées en détail et l'ensemble tient, "à peu près". Au fur et à mesure, le monde n'est pas simplement anesthésié, mais tué, nous ne pourrions décortiquer un animal vivant !
Alors, tous les mouvements posthumes de ce monde, qui git dans un cadre conceptuel, affaiblierons l'esprit qui tente cette valeureuse aventure.
D'où ma question: est-ce possible d'avoir sous une emprise conceptuelle étendue l'ontologie et les rapports de l'être avec le monde phénoménal ?
Après quantité de travaux sous divers angles et de divers horizons, il y aurait-il un concept ultime qui, dès lors, pourrait servir de base, laquelle, après l'avoir atteinte, serait dépassée ?
Ma réponse est oui. Je crois qu'il y a un seuil qui suffise à l'être pour trouver une prise qui lui convient dans l'aconceptuel, depuis le Soi, parmi le noir, et vers le noir.
Ma seconde réponse est que cela doit être élaboré sans perdre courage, jusqu'à former un escalier - partagé de tous- qui irait de l'Ego jusqu'au Soi, et qui permettrait à tout esprit, depuis l'Ego, de rejoindre le Soi, selon sa maturité "spirituelle" (d'esprit).
Car nous savons que sur l'axe noir-vie, l'Être se déplace.
Nous devons élaborer un enseignement qui soit en escalier, qu'il soit rapide et qu'il puisse recouper tous les accès au noir que l'on connaisse. La structure conceptuelle doit être partagée de tous, c'est une condition sine qua non. Unir la philosophie; la diversité inhibe l'action. Tôt ou tard, apparaîtra une philosophie utile.
Tout autre objet conceptuel devra être associé aux structures initiales, si bien que ceux-ci devront être adaptés. Cette adaptation n'est pas sans poser quelques problèmes d'importance cardinale: si l'on adapte, on modifie - on ne prend qu'une partie. L'univers entier se retrouve donc modifié à la structure illuminatrice. Les cohérences sont anesthésiées en détail et l'ensemble tient, "à peu près". Au fur et à mesure, le monde n'est pas simplement anesthésié, mais tué, nous ne pourrions décortiquer un animal vivant !
Alors, tous les mouvements posthumes de ce monde, qui git dans un cadre conceptuel, affaiblierons l'esprit qui tente cette valeureuse aventure.
D'où ma question: est-ce possible d'avoir sous une emprise conceptuelle étendue l'ontologie et les rapports de l'être avec le monde phénoménal ?
Après quantité de travaux sous divers angles et de divers horizons, il y aurait-il un concept ultime qui, dès lors, pourrait servir de base, laquelle, après l'avoir atteinte, serait dépassée ?
Ma réponse est oui. Je crois qu'il y a un seuil qui suffise à l'être pour trouver une prise qui lui convient dans l'aconceptuel, depuis le Soi, parmi le noir, et vers le noir.
Ma seconde réponse est que cela doit être élaboré sans perdre courage, jusqu'à former un escalier - partagé de tous- qui irait de l'Ego jusqu'au Soi, et qui permettrait à tout esprit, depuis l'Ego, de rejoindre le Soi, selon sa maturité "spirituelle" (d'esprit).
Car nous savons que sur l'axe noir-vie, l'Être se déplace.
Nous devons élaborer un enseignement qui soit en escalier, qu'il soit rapide et qu'il puisse recouper tous les accès au noir que l'on connaisse. La structure conceptuelle doit être partagée de tous, c'est une condition sine qua non. Unir la philosophie; la diversité inhibe l'action. Tôt ou tard, apparaîtra une philosophie utile.